7 étapes pour ralentir et prendre le temps de vivre

Dans un article précédent (l’urgence de ralentir : le bien-être avant tout) nous avons vu que quiconque cherche à trouver plus de bonheur et de paix intérieure doit tout d’abord apprendre à ralentir. En effet, notre rythme de vie joue un rôle crucial pour notre bien-être. 

Le souci, c’est qu’aujourd’hui tout va de plus en plus vite et notre rythme de vie extérieur n’est pas toujours en harmonie avec notre rythme biologique intérieur. 

En fait, une vie trop remplie et surmenée ne favorise pas du tout l’épanouissement personnel. En effet, pour prendre le temps de cheminer intérieurement, on a besoin de temps pour soi. Et parfois, c’est beaucoup de temps qu’il nous faut. Faire le ménage dans notre monde intérieur est un travail qui demande beaucoup d’introspection. Et l’introspection est plus facile à faire dans le silence. Cela requiert un esprit calme, libre de toute agitation. 

C’est pourquoi je pense qu’il est important d’apprendre à aborder la vie avec plus de tranquillité et de douceur. En gros, on doit ralentir un peu la cadence ! C’est en ralentissant et en purgeant nos vies de tout ce qui nous encombre que nous pouvons enfin trouver le recul nécessaire pour faire le ménage dans notre monde intérieur. 

Mais trêve de blablas, nous avons eu le temps d’explorer tout cela dans la première partie de cet article. Maintenant, entrons dans le vif du sujet et découvrons ensemble 7 choses à prendre en considération pour ralentir et prendre le temps de vivre. 

1. Prendre le temps de respirer :

Connaissez-vous l’influence de la respiration sur notre bien-être ? C’est simple, la respiration à une influence directe sur l’ensemble de l’organisme. Par exemple, notre système nerveux autonome se régule suivant le rythme de nos respirations. 

Le système nerveux autonome, c’est notre pilote automatique. C’est lui qui gère toutes les régulations automatiques du corps ainsi que tous les processus chimiques et métaboliques qui se produisent à chaque instant (régulation de la température corporelle, régulation du taux de sucre dans le sang, digestion, battement du cœur, circulation sanguine, etc.). Il gère tout et son bon fonctionnement est donc essentiel à notre santé.

Le système nerveux autonome se divise en deux branches : le système sympathique et le système parasympathique. Le système nerveux sympathique (aussi appelé système lutte ou fuite) favorise l’activité, l’accélération et l’utilisation de nos réserves énergétiques (il accélère le cœur et la fréquence respiratoire, il inhibe la digestion, etc.). À l’inverse, le système nerveux parasympathique (aussi appelé système calme et repos) favorise la relaxation, le repos et la restauration (il ralentit le cœur et la fréquence respiratoire, il stimule la digestion, etc.).

Pour que notre corps soit fort et harmonieux, il est important de respecter un équilibre entre le système sympathique et parasympathique. Nos dépenses énergétiques (sympathique) doivent toujours être récupérées par le parasympathique (c’est lui qui restaure l’énergie du corps).  

Maintenant, comprenez que lorsqu’on est constamment dans la course et dans le stress, notre respiration à tendance à se serrer et à s’accélérer. L’accélération du rythme respiratoire stimule le système nerveux sympathique, ce qui a pour conséquence de produire plus de stress et de pression intérieure. C’est pour cela que le stress et l’empressement sont si mauvais pour notre bien-être. Car ils suractivent le système sympathique. À la longue, cela épuise nos réserves en énergie. Pourtant l’énergie est primordiale pour notre bien-être. Plus notre organisme est abondamment alimenté en énergie vitale et plus nous sommes fort et en bonne santé. 

Donc, si nous choisissons d’aborder la vie dans le calme et la détente et si nous prenons la précaution de maintenir une respiration lente et harmonieuse, cela stimulera le système nerveux parasympathique. Ce qui favorisera le calme intérieur, le bon fonctionnement de l’organisme et la bonne circulation et restauration de l’énergie.

Bien sûr, aborder la vie dans la détente, ne veut pas dire pour autant que l’on doit devenir léthargique. Être dans l’action c’est important. Mais là où je veux en venir, c’est qu’on peut très bien être actif et zen en même temps. Productif Zen quoi ! 

Si vous voulez aller plus loin sur l’influence de la respiration sur l’organisme, je vous invite à découvrir l’article que j’ai écrit au sujet de la cohérence cardiaque

Donc pour en venir au fait, on ne devrait jamais délaisser notre propre bien-être. Plutôt que d’être dans la précipitation, on devrait aborder la vie avec plus de douceur, de confiance et de détente.

A ce sujet, j’aime beaucoup ce petit texte de Christian Larson :

« Afin que votre corps soit continuellement rempli de vie et d’énergie, vivez une vie sereine, mais allumez le courant complet. Vivez et travaillez à pleine capacité. Donnez une expression totale, harmonieuse et constructive des forces qui vous anime. Mais veillez à ce que chaque action soit calme, ordonnée et parfaitement équilibrée. Vivez une grande vie et une vie puissante, mais combinez invariablement l’expression de vos actions avec un profond sentiment de paix. Essayez de vous sentir serein et fort en même temps et en tout temps.« 

Ça me parle beaucoup car, pendant longtemps, j’ai été rempli de stress et de nervosité. Je vivais dans la vitesse et j’avais souvent tendance à bloquer ma respiration. Cela m’a conduit à faire deux burnouts successifs (un premier en 2016 et un autre l’année suivante) et à développer des maux de tête et une fatigue chronique sur plus d’une année. Bien sûr, de nombreux autres facteurs m’ont amené à l’épuisement mais c’est avant tout le fait de vivre dans le stress et la pression qui en est responsable. Aujourd’hui, je réalise la stupidité de vivre dans la précipitation. Ça n’a vraiment aucun intérêt si ce n’est celui de nuire à notre propre bien-être… 

C’est pour cela que le petit texte ci-dessus me parle énormément. Aujourd’hui, j’apprends à aborder la vie avec plus tranquillité. Tout ce que je fais, j’essaie de le faire dans le calme et avec une respiration harmonieuse. Bien sûr, ce n’est pas toujours facile car c’est une nouvelle façon de vivre. En effet, pour changer un automatisme, il faut faire preuve de volonté et de répétition. Passer d’un tempérament de nerveux à celui d’une personne zen ne se fait pas du jour au lendemain.

2. Trouver un équilibre entre être et penser :

Aujourd’hui nous sommes complétement décentrés. Au lieu de vivre depuis « l’être », nous sommes la majeure partie du temps dans notre tête. Tout se passe là-haut ! En effet, chez beaucoup de gens, la pensée est devenue complétement compulsive. 

On est presque devenus des cerveaux sur pattes.

Nous percevons le monde depuis notre mental. Nous pensons, jugeons, analysons et menons un dialogue constant avec nous-mêmes. C’est pour cela que la méditation repousse tant de gens. Car une fois assis en tailleur et les yeux fermés, on réalise vite le bruit quasi permanent de nos pensées qui tournent en boucle dans notre tête. Bref, nous sommes complètement identifiés à notre mental et à notre passé. Nous pensons être l’ego. 

Petite définition de l’ego : l’ego désigne le moi, c’est-à-dire, la représentation que tout individu à de lui-même. 

Comme vous le voyez, l’ego est une construction. Ce n’est qu’une représentation. C’est un processus qui n’a aucune base réelle. Il se compose de notre passé. Pour vivre, il a besoin d’être constamment alimenté par nos pensées. C’est comme à vélo : pour qu’un vélo roule, il faut continuer de pédaler. 

Mais alors, pourquoi la pensée est-elle devenue aussi compulsive ? Parce que nous pensons être cette représentation que nous avons de nous-même. En arrêtant de penser (ou de pédaler), cette représentation est menacée de mourir (comme un vélo qui s’arrête lorsqu’on arrête de pédaler). Alors, pour ne pas « mourir » nous continuons de nous investir dans la moindre pensée qui traverse notre esprit. 

Vous l’avez compris, derrière tout ce bruit mental se cache l’être (ou la conscience). L’être, c’est notre vrai nature. L’ego, lui, c’est un masque que l’on porte.

Bref, il est temps de retrouver un équilibre sain entre être et penser.

Plutôt que d’être constamment dans le mental, apprenons à vivre un peu plus dans la pleine conscience.  Plutôt que d’être gouverné par notre mental, apprenons à le gouverner depuis notre conscience.

En tout cas, c’est un sujet vaste sur lequel j’aurai l’occasion d’écrire dans mon autre blog (Pensées naturelles). En attendant, je pense que pour aborder la vie avec plus de tranquillité et de douceur, on devrait déjà être maître de ce que l’on cultive dans notre esprit. Et pour cela, on doit retrouver un équilibre sain entre être et penser.

Nos pensées sont en perpétuel changement. Elles n’ont pas de stabilité. Elles sont comme les nuages qui passent et qui défilent dans le ciel. Et le ciel lui, ne change pas. C’est une simple présence. De même, juste en dessous de nos pensées existe un espace de silence et de plénitude. Alors la question est la suivante : voulez-vous conserver votre centre dans l’agitation de votre mental ou bien dans le calme et la stabilité de votre être ?

Si vous voulez aller plus loin, je vous invite à découvrir cette série d’articles que j’ai déjà publiée sur Pensées-naturelles.com :

3. Apprendre à s’écouter :

Vous l’avez compris, ralentir et prendre le temps de vivre, c’est aussi pour devenir plus proche de soi. C’est apprendre à s’écouter. 

Mais pourquoi devrait-on apprendre à s’écouter ?

C’est simple, le corps nous parle constamment. Avec énormément de bienveillance, il est là pour nous dire si nous sommes sur le droit chemin. Il nous indique si nous prenons soin de lui correctement. Et pour cela, il nous envoie tout un tas de signaux. 

N’oubliez pas que le corps est un compagnon formidable. Nuit et jour, c’est une véritable communauté de plus de 37 trillons de cellules qui travaillent pour nous maintenir en bonne santé. Elles sont toutes là pour nous préserver et nous faire apprécier le voyage. 

Avec tout ce qu’elles font pour nous, on devrait peut-être les écouter de temps en temps ? Elles ont beaucoup de choses à nous apprendre. Les sensations, c’est le seul moyen de communication du corps. Parfois, il nous parle à travers des sensations de gêne ou des sensations désagréables. Il nous dit : « trop c’est trop ». 

Alors dans ces moments-là, il est plus sage de prendre un peu de recul. Beaucoup de personnes finissent par développer de la fatigue et du stress de façon chronique juste par un manque d’écoute intérieure. Croyez-moi, c’était mon cas…

Bref, en écoutant ce que le corps nous dit, on peut savoir si on fait les choses bien. On peut savoir ce qu’il faut arrêter ou ce qu’il faut continuer de faire.

Pour en revenir à ce qui a été vu plus haut, c’est souvent parce que l’on est complétement identifié à tout ce qui se passe dans notre tête que l’on finit par se couper de notre corps. Voici donc une autre raison de nous recentrer dans la conscience : pour une meilleure écoute. Une meilleure écoute de notre corps, de nos intuitions et du monde qui nous environne. Grâce à cela, on gère mieux nos rythmes et on développe une relation plus harmonieuse avec notre corps. 

« Prends soin de ton corps pour que ton âme ait envie d’y rester »

4. Prendre des pauses :

Quand on parle de ralentir et de prendre le temps de vivre, impossible de ne pas mentionner l’importance de prendre des pauses. En effet, une bonne gestion des rythmes est essentielle à notre bien-être.

Bien sûr, nous avons tous des responsabilités et des engagements différents et il est normal d’être quotidiennement dans l’action. Mais dans un monde idéal, on devrait pouvoir s’octroyer régulièrement des petits moments de pause. Prendre le temps de respirer et savourer l’instant, se recentrer pour contempler ce qui est, ou simplement apaiser notre esprit. En somme, s’offrir de petits moments OFF.

Aussi courte que soit notre pause, elle a une valeur énorme. En effet, prendre un petit moment pour se soustraire de son travail juste pour quelques petites minutes offre de nombreux avantages. 

J’ai déjà abordé ce point dans un précédent article au sujet de la méthode Pomodoro. Dans cet article, j’expliquais que de nombreuses études avaient su démontrer que nos performances cognitives diminuent après environ 25 minutes d’effort cérébral. C’est pourquoi, faire de longue session de travail sans aucune pause est complétement contre-productif. En effet, prendre de petites pauses régulières permet d’offrir un peu calme et de repos au cerveau qui peut ensuite repartir sur de bonnes bases lors d’une prochaine session de travail. En faisant cela, la courbe de nos performances cognitives reste optimale pendant toute la journée.

C’est pourquoi les pauses ne sont pas à négliger. Elles nous aident à maintenir notre efficacité tout au long de la journée. Elles diminuent la fatigue (ou parfois l’exténuation) ressentie trop tôt dans la journée. Et surtout, elles laissent le temps à notre cerveau de « respirer » afin d’assimiler les nouvelles informations.

En bref, une bonne alternance des rythmes c’est ça : 25 minutes de travail – 5 min de pause – 25 min de travail – 5 min de pause – etc

Bien sûr, on adapte cela à notre personne, mais l’idéal, c’est de ne pas trop s’écarter de 25 minutes. Je me répète, mais, même une petite pause de juste quelques minutes peut faire beaucoup de différence sur notre niveau d’efficacité, d’énergie et de bien-être en fin de journée. 

En tout cas, vous l’avez compris, prendre des pauses n’est pas compatible avec une vie trop chargée et surmenée. D’où l’importance de s’aménager de l’espace dans notre quotidien !

5. Utiliser le temps à profit :

Vous l’avez compris, ralentir et prendre le temps de vivre, c’est avant tout pour mieux se connaître et avoir l’opportunité de creuser en soi. Ralentir et prendre le temps de vivre nous offre aussi l’opportunité de nous libérer de notre attachement au passé et au futur afin de nous fondre dans la réalité. C’est aussi l’opportunité de se libérer des masques et de faire l’expérience de notre vraie nature.

Maintenant, voulez-vous être un humain à temps plein ou à temps partiel ? Vivre à temps plein, c’est être pleinement ancré dans le moment présent. À l’inverse, vivre à temps partiel, c’est diviser notre attention entre l’instant et les préoccupations liées au passé, au présent et au futur. Être pleinement présent, c’est s’ancrer dans l’être. Se perdre dans le mental, c’est laisser une partie de soi-même errer sans cesse.

Bref, on a déjà abordé ce point. C’est juste une question d’équilibre. D’un côté, on devrait vivre dans la réalité et d’un autre, on devrait aussi pouvoir utiliser le temps avec plus de sagesse. 

En effet, le temps à toute son importance. Sans lui, nous serions tous dans des grottes à contempler les cailloux à longueur de journée. Nous sommes des êtres spirituels venus faire l’expérience de la vie humaine. Alors, pour vivre une vie humaine qui vaut la peine d’être vécu, on doit pouvoir utiliser le temps à notre profit :

  • Plonger dans le passé nous permet d’apprendre de nos erreurs afin de progresser et de ne pas commettre les mêmes erreurs. En fait, le passé est là pour nous mettre dans le droit chemin car personne ne veut revivre les mêmes expériences désagréables. 
  • Plonger dans le futur permet de se donner une direction et d’avoir une image claire des actions à poser dans l’ici et maintenant pour progresser vers un but.

À part cela, le passé et le futur n’ont pas beaucoup d’importance. Le reste du temps, on devrait juste apprécier et savourer le moment. 

6. Adopter l’état d’esprit de la tortue :

Nous avons tous des rêves et des aspirations. Par contre, nous sommes beaucoup moins nombreux à avoir des objectifs qui soient clairs. En effet, il y a une grande différence entre rêver et faire de nos rêves un objectif vers lequel on s’engage à avancer.

De plus, beaucoup de gens ont du mal à maintenir la persévérance et la motivation requises pour progresser vers un objectif à long terme. Nous sommes dans une société qui encourage de plus en plus la gratification immédiate. Comme on le sait, tout va de plus en plus vite. On veut tout et tout de suite ! On veut que nos efforts soient vite récompensés. 

Pourtant, en observant la réalité en face, on s’aperçoit vite que les personnes productives et prospères sont toujours celles qui pratiquent les choses qui leur importent sur une base constante. Pour atteindre un objectif, les gens qui réussissent travaillent avec beaucoup de rigueur. Ils persévèrent sur le long terme.

Les meilleurs athlètes sont ceux qui s’entraînent à la même heure chaque jour. Les meilleurs écrivains sont ceux qui s’astreignent à écrire chaque matin. Ce principe s’applique dans tous les domaines. Personne n’obtient ses rêves tout fraîchement livrés sur un plateau d’argent.

En gros, pour atteindre vos objectifs, vous devez comprendre ceci :

Le temps est en la faveur de celui qui fait des petits pas. Nos actions quotidiennes répétées avec consistance déterminent la qualité de notre vie future. C’est l’état d’esprit de la tortue !

En effet, je trouve que les tortues ont beaucoup de choses à nous apprendre. Vous connaissez sans doute la fable du lièvre et la tortue dans laquelle les deux animaux se lancent dans une course. À première vue, c’est un pari qui semble perdu d’avance pour la tortue. Pourtant, une fois le départ lancé, la tortue s’engage à son propre rythme, lentement mais sûrement, faisant un pas après l’autre. Elle sait où elle va et quoi qu’il arrive, elle embrasse chaque petit pas et garde son objectif bien en tête. 

Le lièvre, lui, part comme une flèche, prend de l’avance et finit vite par vaquer à toute sorte d’occupations. Il mange de l’herbe, se repose et ne se préoccupe plus de son objectif. Et finalement, contre toute attente, c’est la tortue qui finit par remporter la course !

La morale : quels que soient les moyens, la persévérance permet toujours d’arriver à son but. Et au contraire des capacités exceptionnelles ne servent à rien si elles ne sont pas utilisées avec rigueur.

« C’est votre attitude, bien plus que votre aptitude qui détermine votre altitude » Zig Ziglar

Bref, pour atteindre vos objectifs, inutile de forcer comme un damné ! Développez la même attitude que la tortue : prenez votre temps, ne perdez pas de vue votre destination à long terme et efforcez-vous seulement de progresser sur une base constante : un pas après l’autre.

7. Avoir le sens de l’organisation :

Vous l’avez compris, l’unique moyen de ralentir et de prendre le temps de vivre, c’est tout d’abord de s’aménager de l’espace dans notre quotidien. Bien sûr, quand je parle d’espace, je parle de temps libre. 

Maintenant, vous allez sans doute me dire que vous avez des responsabilités et des engagements et que tout n’est pas aussi simple. Effectivement, nos vies ne sont pas toutes agencées de la même façon. Mais c’est comme ça et on fait avec ce qu’on a ! 

Et puis, je pense que quelles que soient nos responsabilités et nos engagements professionnels, il y a toujours moyen de se libérer du temps si on s’y prend bien (et si on en a la volonté).

C’est avant tout une question d’état d’esprit et d’organisation. Et justement, c’est tout l’objectif de mob blog. Ici, on développe de bonnes méthodes d’organisation, de gestion du temps et de productivité mais tout cela sans oublier de prendre soin de soi ! 

En fait, devenir un Productif Zen présente de nombreux avantages :

  • Trouver plus de clarté et découvrir ce qui compte vraiment pour soi.
  • Se ménager de l’espace et du temps libre.
  • Pouvoir aborder la vie avec plus douceur (ça vous l’avez bien compris).
  • Mettre toutes les chances de notre côté pour progresser vers nos objectifs.
  • Cela avec le moins de friction possible.
  • Et sans négliger l’essentiel : trouver la paix intérieure et la sérénité.
  • En gros, trouver plus d’équilibre entre notre spiritualité et notre vie de tous les jours.

Bref, si vous souhaitez aller plus loin, voici deux articles intéressants :

Et voilà !

Avant de terminer, voici un petit résumé des 7 étapes à prendre en considération pour ralentir et prendre le temps de vivre :

  1. Ne pas oublier de respirer.
  2. Développer un équilibre entre être et penser.
  3. Apprendre à écouter les signaux du corps.
  4. Prendre des pauses régulières.
  5. Utiliser le temps seulement lorsque c’est nécessaire.
  6. Pour progresser vers vos objectifs, développer l’attitude de la tortue.
  7. Enfin, et ce n’est pas le moins important, développer votre sens de l’organisation.

Voilà, si la lecture de cet article vous a plu, je vous invite à découvrir mon petit guide gratuit : Le guide de la Clarté. J’y partage des principes pour trouver la paix intérieure et avancer vers nos objectifs, tout en construisant la vie qui nous correspond. En résumé, comment vivre et accomplir dans la sérénité. Vous pouvez le télécharger juste en dessous.

– Nils Halbedel

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